Volvemos a dar las gracias a nuestro amigo CHARLES ROSMANN, por dar luz a nuestro enigma de ayer y pasarnos el enlace de “Au coeur de la France d´autrefois”, de donde hemos sacado parte de la información para la elaboración de esta entrada.
La solución al enigma está en que en el grabado reproducido ayer, sin saber la razón, tiene por título “La bataille de Conil”, e incluso la Cartoteca Digital del Institut Cartogràfic i Geològic de Catalunya, de donde se capturó su imagen, y depositario de un archivo en formato jpeg, indica que el área geográfica de la acción representada corresponde a Conil de la Frontera (Cadis)[sic]; pero la realidad es que la batalla que tuvo lugar en esa fecha ocurrió a muchos kilómetros de aquí, concretamente en CÚNEO (CONI en francés/piamontés), en Italia.
Batalla de Madonna del Olmo o de Cúneo (30 de septiembre de 1744). Carga de los dragones de Lusitania.
Autor Jordi Bru fotógrafo. Fuente: arrecaballo.es/campaña italiana 1744.
Situación de CÚNEO (CONI).
“Batalla de Cúneo,
ganada por el Príncipe de Conti
sobre el Rey de Cerdeña: 30 de septiembre de 1744.
Publicado/actualizado el miércoles 26 de septiembre de 2012 por La Rédaction.
[Por no se de nuestro agrado la traducción automática del francés, reproducimos en lengua vernácula la información]
Pendant la guerre de 1740, l’armée combinée de France et d’Espagne vint mettre le siége devant le ville de Coni, pour descendre ensuite dans le Milanais. Les Espagnols étaient commandés par l’infant don Philippe, et les Français par le prince de Conti. Le roi de Sardaigne, qui avait embrassé le parti de la reine de Hongrie, les attaqua dans leurs lignes avec une armée supérieure.
Rien n’était mieux concerté que l’entreprise de ce monarque. C’était une de ces occasions où il était de la politique de donner bataille. S’il était vainqueur, les Français avaient peu de ressources, et la retraite était trop difficile ; s’il était vaincu, la ville n’était pas moins en état de résister dans cette saison avancée, et il avait des retraites sûres. Sa disposition passa pour une des plus savantes qu’on ait jamais vue ; cependant il fut vaincu. Les Français et les Espagnols combattirent comme des alliés qui se secourent, et comme des rivaux qui veulent chacun donner l’exemple.
Le roi de Sardaigne perdit près de cinq mille hommes et le champ de bataille. Il n’y eut du côté des vainqueurs que deux mille hommes tués ou blessés. Le prince de Conti, qui était général et soldat, eut sa cuirasse percée deux coups, et deux chevaux tués sous lui ; il n’en parla point dans sa lettre au roi ; mais il s’étendait sur les blessures de tous ceux qui l’avaient secondé, et demandait pour eux des récompenses.
Batalla de Madonna del Olmo o de Cúneo (30 de septiembre de 1744). Despliegue de fuerzas. Fuente: arrecaballo.es/campaña italiana 1744.
Cette victoire fut du nombre de celles qui causent des pertes sans produire d’avantages réels aux vainqueurs. On a donné plus de cent vingt batailles en Europe depuis 1600, explique Voltaire, qui ajoute que de tous ces combats, il n’y en a pas eu dix vraiment décisifs. C’est du sang inutilement répandu pour des intérêts qui changent tous les jours. On sent que cette réflexion ne peut s’appliquer à des batailles telles que celles de Marengo, d’Austerlitz, d’Iéna, de Friedland, de Wagram, etc., dont les résultats immédiats ont été de changer la face de l’Europe, d’agrandir ou de consolider le plus grand empire qui ait existé depuis les Romains.”
Fuente: “Au coeur de la France d´autrefois”, Éphéméride, événements. 26 septembre 2012. 30 septembre 1744: bataille de Coni, gagnée par le prince de Conti sur le roi de sardaigne.
Asedio de Cúneo y despliegue de la batalla de Madonna del Olmo o de Cúneo septiembre de 1744. Fuente: arrecaballo.es/campaña italiana 1744.
LaBatalla de Madonna del Olmo (en italiano, Madonna dell Olmo) o batalla de Cúneo, librada el 30 de septiembre de 1744 en las inmediaciones de la localidad italiana de Cúneo, enfrentó a las tropas hispano-francesas de Luis Francisco I de Borbón-Conticontra el ejército del rey Carlos Manuel III de Cerdeña. Este último intentaba levantar el asedio de Cúneo, pero fue derrotado por las tropas de Luis Francisco. Sin embargo, la ciudad no llegó a ser tomada y el ejército hispano-francés acabó retirándose del Piamonte. Victoria franco-española. Dicha fecha constituye la jornada más gloriosa en la historia del Regimiento Lusitania. La batalla tuvo su inicio como consecuencia del avance de las tropas piamontesas, enviadas por el rey sardo, Carlos Manuel, que amenazaron con romper la línea de frente en el sector situado entre Madonna del Olmo y Lyonais.
Fuente: Batalla de Madonna del Olmo. Wikipedia, la enciclopedia libre.
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